Compétitions en présentiel pendant l'épidémie. Possible ?

Par OB – le 14/12/20 à 10h41Informations

Réaliser des compétitions en présentiel en période d'épidémie, est-ce possible ?
Voilà une question que les joueurs de compétitions seront amenés à se poser dans les mois qui viennent.
Le remplacement des rencontres physiques par des rencontres virtuelles sur des plateformes internet n'est peut-être pas la seule solution à envisager pour maintenir les compétitions.
Il faut réfléchir ensemble, innover en proposant un protocole sanitaire efficace qui permettrait de se retrouver en salle.
Nous avons deux problèmes principaux à résoudre et voici quelques idées qui pourraient être proposées au ministère de tutelle :
1) Empêcher les contaminations aéroportées :
Pour le jeu de dames, il s'agira de créer une barrière plexiglass entre les joueurs qui pourrait s'installer en milieu de table avec une fenêtre basse pour permettre le déplacement des pièces et l'activation de la pendule.
2) Empêcher les contaminations manuportées :
Au jeu de dames, il s'agira d'éviter la transmission virale par le contact des pions, du damier, de la pendule, des feuilles de notation. On peut envisager, le port obligatoire de gants et la désinfection + mise en quarantaine du matériel après utilisation.

Il est primordial que la fédération dans son rôle de représentante des activités de compétition soit porteuse de solutions. Il est important de recueillir un maximum d'éléments pour former une proposition solide. J'invite tous les joueurs à rapporter leurs idées. En attendant, prenez bien soin de vous et de vos amis de club.

Réponses (16)

Par OB – le 05/01/21 à 22h25

Je rapporte ici le point de vue de émis par Monsieur Dalmeida sur un autre post concerant l'éventualité d'un protocole à proposer au pouvoirs publics :

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"Nous sommes dans une situation exceptionnelle. Il faut donc une imagination exceptionnelle.
Il faut privilégier les compétitions en présentiel. Il faut donc les préparer sérieusement en proposant un protocole sanitaire rigoureux aux pouvoirs publics. Il faut parallèlement organiser des compétitions en ligne. Des dispositifs de plus en plus efficaces contre la triche existent. Il faut se renseigner. Bref , il faut agir ! L'organisation des compétitions est vitale pour la FFJD. C'est une mission essentielle de la FFJD. Ceci est contenu dans l'article 1 de nos statuts. Il faut comprendre la psychologie des adhérents. Faire de la compétition est capital .
Il faut sauver la saison 2020-2021. Le mot d'ordre pour les semaines à venir doit être simple : Compétitions , Compétitions , Compétitions !
Le reste n'est que littérature ..."
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La question soulevée concerne tous joueurs qui souhaitent reprendre le jeu en présentiel dans un cadre associatif.

Qu'en pense le bureau de la fédération ? Quelles propositions ? La barrière plexi conjugé à un aménagement des règles du déplacement des pièces sont ils des aménagements intéressants à proposer ?

Il serait souhaitable d'y répondre. Sinon, l'on pourra se demander pourquoi la fédération recommande à ses adhérants de la soutenir financièrement sans leur offrir de contrepartie. Il s'agit là peut-être d'un enjeu crucial pour assurer la pérennité du maintien du nombre d'affiliés pour la saison 2021-22.

Par JackyBruiant – le 06/01/21 à 08h51

Bonjour,

Question importante, il faut effectivement étudier des conditions de reprises conforme aux directives nationales et locales.
A cet effet, il existe un protocole sportif portant sur les ERP (établissement ouvert au public)

Le lien sur les ERP https://www.sports.gouv.fr/IMG/pdf/decisionssanitairestableau_annexe.pdf et le protocole au 15 décembre pour les mineurs.
Il faut se rendre régulièrement sur le lien du gouvernement et solliciter les municipalités (rôle des clubs ou des joueurs)

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Le présent protocole précise les modalités d’organisation des activités sportives des mineurs pour la période d’allègement progressif du confinement.

Il repose sur les prescriptions émises par le ministère des Solidarités et de la Santé et les avis rendus par le Haut conseil de la santé publique ainsi que sur les dispositions législatives et réglementaires en vigueur.
La situation sera régulièrement évaluée afin d’adapter, le cas échéant, le cadre d’organisation des activités.
Le présent protocole a vocation à être repris et décliné par les fédérations sportives, leurs associations affiliées et toutes structures (associatives, communales, intercommunales ou commerciales) proposant une pratique encadrée d’activité physique et sportive à destination de pratiquants mineurs.

LES CONDITIONS DE LA PRATIQUE SPORTIVE CONTEXTE

Le principe est celui d’une reprise des activités pour tous les mineurs. En effet, l’accueil des enfants et adolescents dans les clubs sportifs garantit, après le temps scolaire et pendant les vacances scolaires, à la fois :-une continuité éducative dont la légitimité a été reconnue depuis le début de l’état d’urgence sanitaire ; -un souffle d’engagement citoyen pour les nombreux bénévoles impliqués dans les milliers d’associations sportives de notre pays ; -un mode de garde soulageant les familles, notamment pendant les vacances scolaires

.LES ACTIVITÉS PHYSIQUES ET SPORTIVES CONCERNÉS
Dans son avis du 20 octobre 2020, le Haut conseil de la santé publique (HCSP) indique que les sports identifiés comme étant les plus à risque de contamination sont les sports de groupe en espace confiné mal aéré, les sports collectifs à forts effectifs et fondés sur les contacts ou encore les sports de contact avec des corps à corps. La reprise de ces activités doit ainsi s’effectuer sans contact en proposant des pratiques qui respectent la distanciation physique d’au minimum 2 mètres entre chaque pratiquant.
Chaque activité proposée fait l’objet d’une évaluation préalable et d’une adaptation au regard de ces règles.
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Par ailleurs, la reprise de ces activités est strictement limitée à l’entraînement individuel et collectif. La tenue des différentes compétitions (championnats, coupes, etc...) est suspendue jusqu’à fin décembre 2020 au moins afin d’éviter les brassages de population (collectifs de mineurs et leurs accompagnateurs) et les risques de contamination.

LES LIEUX DE PRATIQUE

La reprise d’activités sportives des mineurs au sein des associations peut s’effectuer, en accord avec les propriétaires ou gestionnaires des équipements concernés :
-dans les ERP de type X (établissements sportifs couverts), à partir du 15 décembre 2020
-dans les ERP de type PA (équipements de plein air),
-sur l’espace public ; dans ce cas, la composition du groupe (pratiquants mineurs et encadrants) doit être strictement limitée à 6 personnes au maximum.Sauf nécessité impérieuse, les responsables légaux ne doivent pas être admis dans les ERP où se déroulent les activités des mineurs.
En cas d’accès exceptionnel, ils doivent être munis de masques, respecter une distanciation physique d’au moins un mètre et procéder à un lavage des mains à l’entrée.

LES CONDITIONS D’ACCUEIL DES MINEURS
Dans le cadre de la reprise d’activité des mineurs, les organisateurs devront répondre aux contraintes imposées par les conditions sanitaires et les recommandations des autorités publiques :-organisation d’activités sportives adaptées qui évitent le brassage entre les enfants :-composition de groupes homogènes, stabilisés pour toutes les séances courant jusqu’à fin décembre ;-présentant des effectifs réduits ;-disposant, pour chaque groupe, de créneaux horaires dédiés ;-sécurisation des flux et des accueils dans les établissements sportifs (superficie, aération, nettoyage) pour limiter au maximum le risque de propagation du virus ;-mise en place de protocoles sanitaires renforcés intégrant les recommandations du Haut conseil à la santé publique, et garantissant l’exclusion de tout cas contact ou enfant présentant des symptômes Covid ;

-tenir un registre nominatif des personnes accueillies avec les horaires de présence ;
-Inviter les enfants qui possèdent un téléphone portable à télécharger l’application TousAntiCovid et encourager l’activation de l’application lors de l’entrée dans l’établissement ;
-La gestion des cas contacts s’opère dans le strict respect des règles de droit commun et des recommandations des ARS concernées.

4Au sein de chaque structure accueillant ces mineurs, un référent Covid désigné responsable et formé devra s’assurer du respect et de l’apprentissage de l’ensemble des gestes barrières issus des recommandations sanitaires (point 2 ci-après). Le nombre total de mineurs pouvant être accueillis dans un ERP de type X ou PA n’est pas restreint. Il est fixé par l’organisateur dans le respect des prescriptions émises par les autorités sanitaires (distanciation physique, gestes barrières, etc.). Les effectifs accueillis doivent être adaptés aux surfaces d’évolution des locaux et à une organisation particulière des activités.
Les parents sont invités à prendre la température de leur enfant avant le départ pour l’activité. En cas de fièvre (38,0°C ou plus) ou en cas d’apparition de symptômes évoquant la Covid-19 chez le mineur ou un membre de son foyer, celui-ci ne doit pas se rendre à son club et ne pourra y être accueilli.De même, les mineurs ou les membres du foyer considérés comme des cas confirmés, ou encore identifiés comme contacts à risque, ne peuvent prendre part aux activités. Les personnels des collectivités, entreprises ou des associations sportives doivent appliquer les mêmes règles et s’abstenir de participer à l’accueil des pratiquants. Les organisateurs doivent être équipés de thermomètres pour pouvoir mesurer la température des enfants (et des personnels) dès qu’ils présentent des symptômes au sein de l’établissement.

COMMUNICATION AVEC LES FAMILLES
Les responsables légaux sont informés préalablement à la reprise d’activité du mineur, des modalités d’organisation de cette activité et de l’importance du respect des gestes barrières par eux-mêmes et leur(s) enfant(s) à l’arrivée au sein de la structure.Ils sont également informés : -des conditions de fonctionnement de la structure organisatrice ; -de leur rôle dans le respect des gestes barrières (explication à leur enfant, fourniture de mouchoirs en papier jetables, utilisation de gel hydro-alcoolique, utilisation des poubelles, etc.) ;-de la surveillance d’éventuels symptômes chez leur enfant avant qu’il ne parte (la température doit être inférieure à 38° C) ;-de l’obligation de déclarer sans délai à l’éducateur sportif en charge de l’encadrement du groupe de mineurs, la survenue d’un cas confirmé au sein du foyer en précisant si c’est le mineur qui est lui-même positif ;-de la procédure et des moyens mis en œuvre en cas d’apparition de symptômes chez un mineur ou un personnel.

5 LES PRINCIPALES RECOMMANDATIONS SANITAIRESMESURES GÉNÉRALES

La fréquentation des espaces clos et la durée des séances d’activités physiques ou sportives seront modulées, pour respecter la densité et le flux des pratiquants.L’aération par ouverture des fenêtres doit impérativement être réalisée en permanence, à minima ouvertes en grand à plusieurs moments de la journée.Le débit minimal d’air neuf à introduire dans des locaux à usage sportif est de 25 m3/h/personne et de 22 m3/h/personne pour les piscines, selon le Règlement sanitaire départemental type (RSDT).Les salles sans possibilité de ventilation naturelle possible et sans équipement de ventilation mécanique contrôlée (VMC) ne doivent pas être utilisées.Une jauge de fréquentation maximale des espaces clos doit être définie, affichée à l’extérieur et à l’intérieur des locaux et respectée. Elle doit être à minima conforme au Règlement sanitaire départemental type (RSDT) et au code du travail pour les salariés ou animateurs. Elle se base sur :
-le respect de la distanciation physique lors des activités ;
-la capacité de renouvellement d’air des locaux d’activité ;
-les caractéristiques architecturales (surface effectivement utile pour l’accueil du public) ;
-le volume des locaux.Les fontaines à eau, distributeurs automatiques d’aliments et de boissons seront fermés.Il sera recommandé / demandé aux pratiquants d’apporter leurs propres conditionnements d’eau personnalisés et en aucun cas de ne partager leur gourde ou leur bouteille avec une personne extérieure à leur foyer. Il en est de même pour les serviettes de toilette.Des poubelles seront disposées dans les espaces de circulation pour jeter masques à usage unique et mouchoirs en papier.Il sera demandé à chaque pratiquant d’apporter son équipement personnel (tenue, chaussures, ballon, raquette). Si des équipements partagés sont indispensables, ils seront désinfectés après chaque séquence. Les échanges d’effets personnels (ex. serviette) sont interdits.Un plan de nettoyage périodique avec suivi sera assuré dans les locaux avec une attention soutenue pour toutes les surfaces, objets et matériels exposés à des contacts corporels et susceptibles d’être contaminés, en particulier dans les vestiaires individuels, douches et toilettes (poignées de portes, rampes, etc.).Les vestiaires collectifs demeurent fermés ; les jeunes doivent arriver au club en survêtement ou vêtus chaudement pour pouvoir se couvrir à l’issue de la séance.Les vestiaires individuels (notamment dans les piscines) doivent être ouverts pour permettre aux pratiquants de revêtir la tenue spécifique de la pratique (ex : maillot de bain).

LE LAVAGE DES MAINS
Le lavage des mains est essentiel. Il consiste à laver à l’eau et au savon toutes les parties des mains pendant 30 secondes. Le séchage doit être soigneux si possible en utilisant une serviette en papier jetable, ou sinon en laissant sécher ses mains à l’air libre. Les serviettes à usage collectif sont à proscrire.À défaut, l’utilisation d’une solution hydro-alcoolique peut être envisagée. Elle se fait sous l’étroite surveillance d’un adulte pour les mineurs de moins de onze ans.Des distributeurs de produits hydro-alcooliques pour favoriser l’hygiène des mains au minimum à l’entrée et à la sortie de l’établissement seront mis à disposition des participants
Le lavage des mains doit être réalisé, a minima :
-à l’arrivée dans l’établissement et/ou au début de chaque séance ;-avant la reprise de séance lorsque le mineur est allé aux toilettes ;
-à la fin de la séance et/ou à la sortie de l’établissement.Les encadrants participent en outre à sensibiliser les enfants sur la nécessité d’un lavage de main en rentrant au domicile.

LE PORT DU MASQUE
Pendant leur pratique sportive, les mineurs ne sont pas soumis à l’obligation du port du masque lorsque l’activité pratiquée ne le permet pas (en cas de ventilation trop importante en particulier). En revanche, en dehors des temps de pratique sportive, le port du masque est obligatoire pour les encadrants, pour toute personne prenant part à l’accueil et pour les éducateurs pendant les séances ainsi que pour les mineurs de six ans ou plus.Le port d’un masque grand public en tissu réutilisable de catégorie 1, couvrant nez, bouche et menton, et répondant aux spécifications AFNOR S76-001 (niveau UNS 1) ou d’un masque à usage médical normé, doit être respecté en permanence dans l’ensemble des locaux en dehors du temps de pratique sportive.Il appartient aux responsables légaux de fournir les masques à leurs enfants.Pour les encadrants, les masques sont fournis par l’organisateur ou l’association sportive. Celui-ci doit, de plus, prévoir pour chaque accueil au sein des ERP une réserve de masques afin qu’ils puissent être fournis aux mineurs qui n’en disposeraient pas.
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Pour moi qui pratique le tennis de table en compétition, l'ensemble des activités ont été suspendu.
Une évolution est attendue soit
une reprise vers le 21 janvier 2021 soit
des restrictions plus fortes


Si des clubs peuvent faire un retour de leurs expériences de reprise localement. Elles contribueraient à améliorer les conditions exigées à soumettre aux responsables des salles. Des mairies peuvent refuser pour des raisons de gestion et d'autres accepter en vu des garantis.

Mon petit club de multi jeu ( Othello, Dames, Quirwkle, etc...) n'a pas l'autorisation d'user de la salle... Nous attendons les prochaines annonces (aujourd'hui) pour de concert avec d'autres associations obtenir l'autorisation de la salle ( désinfection entre deux activités et un point de blocage).

A vous lire

Par jacky – le 06/01/21 à 10h37

Bonjour,

Vous trouverez ci-dessous le protocole sanitaire qui est établi depuis le 04/06/20, il fonctionne puisque je l'utilise régulièrement pour travailler dans certaines écoles et lieux de la mairie de Toulouse. Donc pour répondre à votre question
"Qu'en pense le bureau de la fédération ? Quelles propositions ?' Nous en pensons que l'on ne vous a pas attendu. Voilà pour la première question.
Pour la deuxième partie de vos propos "l'on pourra se demander pourquoi la fédération recommande à ses adhérents de la soutenir financièrement sans leur offrir de contrepartie"
La FFJD demande à être soutenue pour espérer remonter la pente une fois cette crise passée, elle le demande pour pouvoir mettre en place une revue par ex ou des stages ou de permettre au CA de se réunir conformément aux statuts, prépare la coupe de France qui aura un cout, le championnat de France qui aura aussi un cout bref la FFJD travaille met des choses en place que vous ne voyez pas ou ne voulez voir et cela demande une solvabilité. Elle demande un soutien tout simplement pour exister aux yeux des autres, pouvoirs publics, sponsors privés etc. Visiblement vous ne comprenez pas que la CONTREPARTIE est la volonté qui anime le CA de sauver la fédération et nous ne la sauverons pas si les membres ne nous aident pas.et encore moins si des interventions démagogiques, viennent systématiquement polluer notre travail ; j 'espère avoir répondu et apporté des réponses qui calmeront vos angoisses mais je me fais peu d'illutions sur l'utilité des explications que nous apportons tant le désir de nuire anime certaines personnes

Pour finir le jeu en présentiel et le jeu online. En 30 ans d'adhésion à la FFJD je n'ai jamais senti, compris que l'imagination était au pouvoir au sein de l'instance. Nous tentons de structurer l'online et avons commencé un travail prometteur et novateur. Mais nous sommes confrontés à des problèmes structurels qui bloquent pour l'instant toutes avancées majeures, le CT a travaillé sur la problématique de la triche et a apporté quelques solutions, nous cherchons des personnes capables de soulever le défi. L'online n'a jamais été structuré jusque à maintenant, il aurait dû l'être et de ce fait nous nous heurtons à des retards difficilement surmontables. Ils sont de deux ordres, le premier est que nous ne trouvons personnes qui aurait les compétences pour gérer ce travail et l'envie de le faire, le second est que les attentes mis dans l'online par le CA ne sont pas à ce jour bien comprises ce qui génère des difficultés dans la mise en place de ce travail

En ce qui concerne le présentiel, La première façon d'être présent est de prendre sa licence, ET JE VOUS INVITE A LE FAIRE, à ce jour nous avons perdu 350 licenciés, ce qui nous réduit à 300 licencies A et B, je remercie au passage certains clubs qui malgré leur fermeture et ou leur fonctionnement au ralenti ont pris massivement des licences (ils se reconnaitront). La mise en place de la licence E nous permet heureusement de faire encore illusion, passant nos effectifs à 600 adhérents .

La deuxième façon de promouvoir le présentiel est de refaire venir les joueurs au sein de leur club respectif, cela permettrait que des petits tournois amicaux puissent avoir lieu. Mais je sais que cela est plus difficile qui n'y parait Mr OB car voyez-vous beaucoup de clubs ne sont pas encore ouverts, et ou n'ont pas assez de joueurs à l'instar du club de Lille qui a perdu la totalité de ces licencies sauf un, si nous faisions une comparaison avec la FFJD celle-ci aurait vu chutée le nombre des licences de 600 à 100. Mais bien évidement que nous invitons tous les clubs qui le peuvent à reprendre entrainement et tournois, cette recommandation est lancée régulièrement par le CA au travers là aussi de communiqués fédéraux.
La troisième façon de relancer le présentiel est outre les championnats de clubs, ceux des ligues. Mais là aussi plus facile à dire que à faire, certaines régions sont plus sous des contraintes sanitaires que d'autres, à ce jour il n'est pas exclu un re confinement, la peur du virus est là est sclérose beaucoup d'initiatives.
La quatrième façon est les compétitions à caractère "national" ; Cannes, Montpellier, le Léman, coupe de France, Cht de France jeunes, adultes rapide et officiel. Et bien nous y travaillons, pour Cannes c'est râpé pour le cht de France jeunes nous attendons avec Gilbert Charles d'avoir certaines informations et avons plus ou moins un plan B, il en va de même pour les autres manifestations.

Donc Mr OB ne vous sentez pas obligé de relier propos démagogiques, polémiques et provocateurs, n'y de nous faire la leçon, nous avons bien consciences des problèmes tant anciens et récurrents que ceux liés à la situation actuelle et encore une fois prenez votre licence

Merci

04/06/20Communiqué n°8 : protocole pour la reprise des activités
Mesdames les présidentes, Messieurs les présidents,

Une nouvelle étape dans le déconfinement est franchie. De fait, il devient possible d'envisager la reprise des entraînements et des rencontres au sein des clubs.

Néanmoins, il convient d'établir des règles précises dans la mise en place de nos entraînements, rencontres amicales ou officielles et ce, en lien avec les consignes nationales exigées par le gouvernement afin de respecter les recommandations sanitaires.

Ce document a donc pour but de donner un cadre à nos manifestations afin que celles-ci soient conformes à la réglementation actuelle en matière de rencontres sportives. Il vous permettra également d’apporter des garanties, de rassurer et de convaincre les responsables qui gèrent les lieux où nous évoluons.

Conditions de jeu :

A) Jouer autant que possible en extérieur.

B) Obligation de se laver les mains avec du savon ou du gel hydroalcoolique avant et après les rencontres.

C) Port du masque ou d’une visière obligatoire durant les rencontres.

D) Dans le cas d’une rencontre en intérieur, aérer la salle de jeu (ouverture des portes et fenêtres).

Disposition de la salle ou de l’aire de jeu :

E) Disposer les damiers sur des tables ayant 80 centimètres de largeur et positionner les chaises en retrait de la table de telle façon que 1 mètre 50 sépare les deux joueurs.

F) Lorsque c'est possible, disposer les tables de jeu en quinconce.

G) Tous les autres joueurs ; à droite ou à gauche d'une table de jeu active ; doivent se trouver au moins à 1 mètre de distance. L'idéal étant une allée de séparation entre les différentes tables de jeu.

H) Pas plus de 10 personnes dans une pièce de 40 M² (4M² par personne).

Consignes de jeu :

I) Le joueur ayant le trait s'approche du damier pour réfléchir et jouer, son adversaire reste en retrait et s'approche du damier lorsque son adversaire s'en écarte, ainsi la distance d'un mètre est toujours respectée. Tout contact entre les joueurs (serrage de mains…) est bien évidemment à proscrire.

Consignes d’organisation :

J) Les damiers, pions et pendules utilisés lors d'une séance ne doivent plus être utilisés pendant une semaine, si deux entraînements doivent avoir lieu dans une même semaine, prévoir deux jeux de pions, damiers et pendules distincts. A défaut, désinfecter le matériel (pions, damiers, pendules) en utilisant un virucide norme EN 14476 ou de l’alcool à 70° minimum.

K) Mettre à disposition des joueurs et de façon visible (dans la salle de jeu ou l'extérieur) un paquet de lingettes désinfectantes (au cas où des joueurs désireraient apporter une sécurité supplémentaire en nettoyant les pions ou la pendule).

L) Les spectateurs doivent se trouver à au moins 1 mètre de distance des joueurs.

M) Désinfecter les poignées des portes utilisées.

Toute consigne locale supplémentaire doit être appliquée. Ce cadre étant national, toute consigne locale, qui viendrait préciser ou modifier une des consignes ci-dessus, a la priorité, et doit donc s’appliquer en complément ou à la place de la consigne fédérale.
Vous pourrez retrouver le cadre national guidant ces règles à l’adresse suivante.

Ces consignes évolueront au fur et à mesure des directives et recommandations légales.

Je vous prie d’agréer, Mesdames, Messieurs, mes sincères salutations.

M.Jacques Hannachi,
Président de la FFJD.

04/06/20Communiqué n°7 : projet de partenariat avec l'UNSS
Mesdames et Messieurs les présidents,

La FFJD réfléchit à la mise en place de licences spécifiques en direction des joueurs sympathisants et des jeunes scolaires. Ces deux licences dites E et S seront des licences spécifiques à la FFJD.

Dans la poursuite de l’idée de développer le jeu de dames, j'ai également contacté la direction nationale de l'UNSS, c'est à dire la fédération qui promeut le sport en milieu scolaire, par l’intermédiaire des associations sportives, dans les collèges et lycées. Cette structure fonctionne de pair avec l'éducation nationale et a pour but de développer le sport en milieu scolaire.

L'UNSS est très favorable à notre adhésion en leur sein, cela suite à un dossier présenté à M. Mehdi Rahoui directeur adjoint national. Les séances de sport dans le cadre de l’UNSS, qui peuvent se pratiquer sur la pause méridienne ou les après-midis du Mercredi, sont animées par des professeurs d’Education Physique et Sportive (EPS) et ce temps fait partie des obligations de service de ces enseignants.

Pour que l’on puisse rejoindre L'UNSS, nous avons donc deux solutions :

La première, la plus simple, consiste à trouver au sein des membres de la FFJD un ou plusieurs professeurs d'EPS ; elle nous permettrait une adhésion quasi-automatique.
La deuxième solution consisterait à former des professeurs d'EPS volontaires pour être initiés au jeu de dames, puis dans un deuxième temps de passer une convention avec L'UNSS.
La FFJD cherche donc à savoir si nous avons comme licenciés des professeurs d'EPS, si oui je leurs demande de me contacter le plus rapidement possible.

Je demande à toutes les personnes licenciées à la FFJD mais aussi à la FFJDI qui sont professeurs de collège et ou de lycée, et également à tout intervenant dans le secondaire, de se mettre en quête de trouver des professeurs d'EPS qui pourraient et voudraient suivre cette formation.

Pour plus d'informations vous pouvez me contacter par mail et ou téléphone.

Je vous remercie.

M.Jacques Hannachi,
président de la FFJD

Par dalmeida – le 06/01/21 à 11h58

Surprenante allusion au club de Lille
Le club de Mirepoix est passé de 52 licenciés à 2 licenciés.

Par jacky – le 06/01/21 à 12h28

Voilà Mr OB, un ex parfait qui illustre mes propos, pensez-vous qu'il est utile, nécessaire, opportun de répondre ? . À l'avenir envoyez un mail à mo- même et ou au secrétaire général nous nous ferons un plaisir de vous répondre et ça évitera de jouer à des jeux malsains

Par OB – le 06/01/21 à 12h47

La question à l’origine de ce topic est :
Réaliser des compétitions en présentiel en période d'épidémie, est-ce possible ?

Ensuite à chacun de répondre en donnant son avis, et à chacun de trier et faire son point de vue.

Bien qu’il ne soit pas inintéressant de connaître le nombre de licenciés, cet aspect concerne plutôt l’appréciation individuelle et la compréhension que porte chaque joueur aux actions de la Fédération.

Quelques réponses données par Jacky en soulèvent d’autres au regard de la règlementation :

Quel est le ministère de tutelle de la FFJD ? La FFJD a-t-elle obtenu l’agrément SPORT ?
A quelles règles doivent se soumettre la FFJD et ses membres ?
Merci de clarifier car les règles et les contraintes ne sont probablement pas les mêmes pour l’éducation, le sport ou le loisir.

L'avantage à s'exprimer sur un forum, c'est que tout le monde, en théorie, peut apporter sa connaissance ou son point de vue.

Par OB – le 06/01/21 à 15h14

Si vous me le permettez, je reviens sur l'idée de la barrière en plexiglass pour expliquer le concept.

La position attentiste qui consiste à attendre de meilleurs jours, ne me semble pas être la bonne solution. Il se pourrait qu'il faille attendre longtemps !

Voici la base du concept que je vous propose. Vous en ferez ce que vous voudrez !

L'idée est d'interposer un écran plexiglass en milieu de damier quelques centimètres au dessus de la table de jeu. L'écran est maintenu par 2 cannes de support qui reposent au sol de chaque côté de la table. Là déjà on élimine les risques de contamination par les rejets respiratoires (vapeurs, postillons).
On conservera néanmoins le port du masque pour minimiser les contaminations aéroportés (mouvements d'air, clim, etc).

Cette solution me paraît plus sûre et plus confortable que la préconisation de "jacky" au point n° E : "E) Disposer les damiers sur des tables ayant 80 centimètres de largeur et positionner les chaises en retrait de la table de telle façon que 1 mètre 50 sépare les deux joueurs."
En effet, 1,50 m de distance rend le jeu inconfortable, et cette distance de 1.50 m demeure insuffisante pour garantir une protection durable (5 heures de rapprochement).

Ensuite il est indispensable de rechercher à éviter la transmission virale par contact des pions.
Pour cela, on aménage pour la circonstance du tournoi en présentiel, une règle spécifique qui intronise, que seul, l'un des 2 joueurs, déplace les pions sur le damier (par convention celui qui a le trait en début de partie, c'est à dire les blancs).

En respectant ces 2 mesures de protection, il me semble possible de réaliser le championnat de France dans des conditions optimales de sécurité sanitaire.

L'investissement financier n'est pas très élevé (panneaux plexiglass et poteaux), et de surplus le matériel est réutilisable.

Il faut bien sûr ne pas s'organiser à l'improviste à la dernière minute, c'est à dire organiser les compétitions dans une des régions les moins impactées par le virus, proposer aux élus un protocole sanitaire fiable.

Au plaisir de lire vos avis et vos solutions.

Par JackyBruiant – le 07/01/21 à 09h00

Bonjour,

L'idée d'une barrière posée sur la table avec une lunette pour pouvoir accéder à la partie adverse a été utilisé dans une compétition de jeu de dames sans port du masque.
Son apport combiné avec le port du masque est-il d'un gain sanitaire, le seul cas et pour palier au repositionnement du masque .

Pour la transmission part les pions, chacun joue avec un damier et un jeu de 40 pions et à chaque ronde désinfection.

L'arbitre ou organisateur doivent prendre des mesures de précaution., comme le port de gants pour distribuer la feuille de match, des stylos etc....

Autres mesures
Prendre la température de chaque personne entrant dans la salle ( appareil coûte 20€ ) et préciser que la salle est refusée pour toute personne présentant une température supérieure ou égale à 38°..

Les espaces communs comme les sanitaires doivent être désinfecté régulièrement après usage. Buvette impossible tant que les cafés et restaurants sont fermée seul est possible l'enlever => espace de consommation à prévoir.

Mise en place d' interruptions de jeu pour l'aération pendant les rondes si >à 1h (exemple).

Lorsque l'on s'impose des contraintes, il faut définir clairement les sanctions encourues pour le non respect.

Dans tous les cas, il est important d'avoir un retour d'expérience des clubs, des organisateurs sur les contraintes imposées pour la reprise en salle.

Bonne journée

Par OB – le 07/01/21 à 11h38

L'idéal, est de tout mettre en œuvre pour que le Championnat de France en présentiel puisse se tenir.
Il faut, c'est évident, apporter toutes les garanties d'une bonne prise en compte des risques sanitaires et engager les consultations politiques sans tarder.
Il est souhaitable pour des raisons de responsabilité et garanties sanitaires, que ce soit la Fédération plutôt qu'un club, qui se charge de l'organisation pour devancer la possibilité d'une annulation capricieuse de dernière minute.
Cela nécessite d'élaborer dès maintenant le règlement, cahier des charges et effectuer les achats de matériel.
Je pense qu'il sera également nécessaire de renforcer l'équipe d'arbitrage pour veiller au bon déroulement de la compétition.

Je conclurai mon propos en disant, que si une Fédération a bien une raison d'exister, c'est celle de garantir au minimum que son championnat national de compétition en présentiel aura bien lieu, quoi qu'il se passe et quoi qu'il en coûte.

Par Croc Robert – le 07/01/21 à 12h32

Olivier,

Ton idée de base est intéressante concernant la façon d'organiser des compétitions.
Un petit inconvénient toutefois lorsque tu veux faire déplacer les pions uniquement par les blancs.
Le temps entre l'énoncé du coup que les noirs voudraient jouer et le déplacement par les blancs sur le damier pourrait provoquer des litiges ?

Je vous propose une méthode qui a fait ses preuves :
L'utilisation d'une tablette par CHAQUE joueur
Ton principe d'une grande table avec séparation reste conservée
Un seul damier dont les pions seront déplacés par une seule personne (les blancs par exemple)
Toujours une saisie papier des deux joueurs, mais la grande différence, c'est l'utilisation d'une tablette reliée à Toernoibase par wififi !
J'ai appris à jouer avec ce système en championnat de France plusieurs années, à l'open de Salou et en région.
Plusieurs avantages indéniables
Distanciation bien prise en compte
Visu de la partie dans la salle ET sur le site Toernoibase par les spectateurs
Aucune tricherie possible
Un fichier de notation généré en fin de la partie
Des tournois de jeunes se sont déjà joués à l'étranger avec une tablette/joueur
Une fois la partie démarrée, il suffit de déplacer les pions sur chaque tablette pour commencer à dérouler la partie.
Deux possibilités sont disponibles: saisie en live OU saisie semi automatique ou vous n'utilisez le wifi qu'à la fin pour sauver votre partie finie
Je suis prêt à vous donner des infos si vous décidez dans vos tournois ou en Championnat de France de choisir ce procédé (moderne)
Une tablette en premier prix coute moins de 50 €
Il n'y a pas de manque de concentration en utilisant ce système qui perturbe moins que la saisie sur la feuille de saisie
Autre avantage, la feuille de saisie devient parfaite puisqu'il vous suffit de recopier la ligne écrite sur la tablette
J'ai beau réfléchir, je n'arrive pas à trouver un seul inconvénient à son utilisation !...
Je cherche actuellement si le fonctionnement peut aussi être utilisé sur Draughtsarbiterpro
Mais êtes vous prêts ??????????????????
Robert

Par OB – le 07/01/21 à 13h38

JackyBruiant, Robert,

Vos propositions et recommandations me semblent intéressantes.
Concernant l'option des tablettes, l'idée est séduisante. Il faut que la tablette soit réservée exclusivement à ce programme. Cela implique néanmoins un investissement financier supplémentaire, un apprentissage, un rodage et une connexion internet sans faille. Ensuite, est-ce que, tout le monde sera prêt à changer ses habitudes ? Un essai pourrait-être réalisé avec la série Nationale pour commencer et améliorer, voire généraliser le concept pour les années futures.

Ma préconisation conserve l'avantage d'être plus simple à mettre en œuvre et de coûter moins cher en matériel.
Je crains que si nous recherchons à vouloir trop bien faire du premier coup, nous risquions au final de ne rien faire aboutir du tout !

Gardons en vue les 2 objectifs suivants :
Maintien du championnat de France en présentiel.
Conditions sanitaires optimales.

Par OB – le 07/01/21 à 13h59

Robert,

Je reviens en réponse sur ton observation qui était la suivante :
"Un petit inconvénient toutefois lorsque tu veux faire déplacer les pions uniquement par les blancs.
Le temps entre l'énoncé du coup que les noirs voudraient jouer et le déplacement par les blancs sur le damier pourrait provoquer des litiges ?"

Il ne peut pas exister de litige au motif que tu évoques, car lorsque les noirs indique leur coups, ils actionnent la pendule. Ainsi si les blancs tardent à jouer le coup indiqué, ils se pénalisent eux-même sur leur temps de jeu, ce qui n'est pas leur intérêt.
Par ailleurs, l'écran en plexiglass est découpé aux dimensions (hauteur,largeur) de la pendule, chaque joueur n'a accès qu'au bouton situé de son côté.

Par jacky – le 07/01/21 à 14h09

Bonjour, Mr OB

J'avais bien noté que certaines personnes aimaient à jouer les mouches du coche, mais je n'avais pas saisi que d'autres se voulaient plus royaliste que le roi.

Encore une fois, si vous voulez vraiment aider la FFJD, prenez votre licence et pourquoi pas nous faire un don. Aider la FFJD c'est d'abord consolider son financement, ensuite intervenir au sein d'un club, d'une ligue, d'une commission etc. Bref, nous aider c'est apporter son aide financière, logistique et bien sûr en étant force de propositions. Or vous n'en faites rien (même si vos contributions de types "théoriques" sont intéressantes). Vous n'êtes pas force de propositions mais vos propos reviennent à mettre des bâtons dans les roues.

Oui le cht de France ainsi que la coupe de France et peut être un ou deux tournois, type celui du Léman doivent avoir lieu, c'est une évidence, si vous pensez que le CA n'en a pas conscience c'est grave.
Maintenant, encore une fois nous avons un protocole qui fonctionne puisqu'il a été validé par la mairie de Toulouse, la mairie d'Amilly et tout un tas d'écoles primaires et secondaires.
De plus, à ce jour aucunes des manifestations qui n'ont pu avoir lieu, l'ont été au regard d'un protocole insuffisant. Ce qui entrave, ce sont les mesures prises par le gouvernement à un temps T et qui rendent toutes réunions impossibles. Couvre-feu, confinement, jauge imposée etc. Je rappelle que les phases finales de la coupe de France ont pu avoir lieu à Bourges, un protocole sanitaire a été mis en place et a satisfait tout le monde.

D'autre part, si une structure nous prête une salle elle aura son propre protocole qu'elle imposera, et c'est surtout à cela qu'il faudra se plier. Là on verra les mesures plus ou moins contraignantes que nous devrons assumer, pas la peine de s'en inventer.

Concrètement, les manifestions possibles seront toutes entre juillet et septembre (or éventuellement Didone), nous verrons aux alentours de février-mars ce qui sera consolidé ou pas, nous aurons donc au minimum 4 mois pour organiser les choses.

Je regrette Mr OB, la FFJD ne pourra aller à l'encontre du possible, ce possible sera défini par des mesures nationales édictées par l'état, or donc, affirmer que la FD doit garantir quoi que cela soit, quoi qu'il se passe ou quoi que cela en coute.... C'est du vent.

Autre chose, cette idée de vitre n'est pas nouvelle, la Pologne, l'Italie et d'autres pays l'ont eu et vous savez quoi même le club de Mirepoix sur Tarn, qui donc c'est renseigné, le prix moyen pour avoir quelque chose de sérieux et d'une ouverture de 50 est 80 euros, à cela il faudra ajouter les frais de transport jusqu'au lieu de la compétition, car 50 panneaux de disons 80 de haut sur 70 de large et 4 mms d'épaisseur ne se transportent pas dans la malle d'une voiture , on peut estimer à minima une dépense d'achat de 500 euros plus des frais de transport d'un lieu à l'autre d'autant voir plus , je n'appelle pas cela une dépense mineure

Il me semble que vous demeurez en région paloise, si tel est le cas je vous signale que du 19 au 22 février se déroulera à Bizanos le cht de France de jeu de dames 64 Brésilien et Russe, j'y serai avec quelques jeunes j'espère, vous pourriez y venir voir y participer, nous verrons là quels types de contrainte sont imposés par les mairies pour se genre de manifestation

bien cordialement Jacky

PS en ce qui me concerne la discution est close

Par OB – le 07/01/21 à 15h05

Jacky,
Je n'ai pas jusqu'à présent répondu à vos interventions polémiques sur l'implication financière des joueurs, ni à vos plaintes et vos censures sur les interventions de joueurs que vous considérez comme des démolisseurs de la FFJD. Vos propos n'engagent que vous-même dans une sorte de pseudo bonne conscience. La réalité semble être que vous n'entendez pas vous remettre en question, préférant vous trouver des excuses et échapper au rôle qui devrait être le votre. Concrètement je ne vois pas d'actions, et je ne comprends pas à vous lire ce que vous comptez réaliser. C'est peut-être le problème. Il y a plusieurs manière d'aider une fédération, le don en est une, mais ce n'est pas le moyen exclusif, loin de là. Rechigner à dépenser 500 ou 1000 euros en matériel pour améliorer les conditions sanitaires et permettre la tenue d'une compétition, est incroyable. On ne pourra que déplorer que le compte rendu financier et moral de l'AG soit des plus sommaires, raison pour laquelle personne en réalité ne peut savoir aujourd'hui l'état réel et les moyens dont dispose la Fédération.

Par OB – le 07/01/21 à 20h02

L'incompréhension, l'anomalie et l'échec se résume à la phrase écrite par Président de la Fédération lui-même :

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"Concrètement, les manifestions possibles seront toutes entre juillet et septembre (or éventuellement Didone), nous verrons aux alentours de février-mars ce qui sera consolidé ou pas, nous aurons donc au minimum 4 mois pour organiser les choses."
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Je pense au contraire que qu'il faudrait raisonnablement anticiper, préparer, organiser, communiquer...etc...

C'est ce que nous tentions de faire en lançant ce topic.

Bonne soirée.

Par OB – le 28/01/21 à 16h00

Bonjour,

Je viens d'apprendre que le championnat de France de dames brésiliennes et russes qui devait se tenir à Bizanos dans le 64 le 19 Février 2021 est annulé et va être reporté en raison des directives nationales concernant la covid.

Il serait intéressant de réviser le protocole sanitaire, engager un dialogue avec les élus et surtout avec les responsables ministériels.

Actuellement tous les responsables ouvrent le parapluie en écoutant la météo.

Nous allons maintenant être soumis à la nouvelle recommandation des 2 mètres de distance, ce qui vas compliquer l'organisation des rencontres officielles.

Cette situation risque de durer des mois, voire une année, si les décideurs et les organisateurs ne négocient pas un accord sur un protocole sanitaire qui prennent en compte sérieusement les risques de contamination.