Concernant la partie entre le toulousain Daniel Cuchet et le lillois Cristian Niami, au moment où la position des blancs se trouve compromise:
Trait aux blancs
Il m'est venu l'idée qu'en fixant le groupe noir dominant, le pion passé pourra aller faire une deuxième dame. Qu'en pensez vous ?
une suite possible:
1. 37-32 27x38 2. 35-49 23-28 3. 30-25 28-32 4. 25-20 43-48 5. 20-14 48-37 6.
49-35 38-42 7. 14-9 37-46 8. 9-3 42-48 9. 35-49 32-37 10. 49-38 48-39 11.
38-47 39-17 12. 3x21 26x17 13. 47-33 16-21 14. 33x6 37-42 15. 36-31 42-47 16.
31-26 21-27 17. 6-50 27-32 18. 50-6 32-38 19. 6-39 38-42 20. 26-21 42-48 21.
39-50 48-37 22. 50-6 47-36 23. 6-50 36-47 24. 50-6 47-36 25. 6-50 1/2-1/2
Par Faustin
– le 25/07/15
à 01h05
Bonjour Angel,
A partir de cette position, il y a mille façons d'aboutir à la remise.
La suggestion du gambit peut être difficile à envisager si on n'a pas bcp de temps. Ce qui est incompréhensible, dans la partie, c'est surtout que les blancs aient acceptés sans contrepartie de perdre leur dame contre un pion.
Par Angel
– le 26/07/15
à 09h43
Bonjour Faustin,
C'est toujours un plaisir de vous lire.Mais c'est encore mieux de vous rencontrer comme lors de cette coupe de France. Pouvez-vous me rappeler le nom du chroniqueur célèbre de la période de l'occupation russe de Paris ?
La variante proposée, en effet, me semblait assez radicale, mais ce n'est pas le cas.
Par Faustin
– le 06/08/15
à 20h38
Casimir Delavigne !
Le trop injustement oublié de l'histoire et de la littérature française. Il fut la plume qui donna du courage et de l'espoir lors de l'Occupation (attention, à ne pas confondre avec la période de la 2e Guerre à laquelle renvoie aujourd'hui ce mot).
L'"Occupation" désignait alors la présence de troupes russes, mais aussi prussiennes et autrichiennes et des officiers britanniques, après Watterloo.
C'est lui qui contesta le pillage, s'opposant à ce que les vainqueurs n'emporte toute ce que le Louvre contenait, donnant l'exemple du rare courage qui consiste à critiquer les vainqueurs dans leurs abus ! Il fut souvent appelé durant cette période héroïque le poète de la Nation !
Le mot du président